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En 2025, la systémique s’affirme comme une discipline clé pour aborder les enjeux complexes, grâce à l’essor des systèmes adaptatifs et son rôle crucial dans la durabilité. Ses applications couvrent des domaines variés, de l’entreprise à l’écologie. Elle devient aussi une compétence essentielle à acquérir dans le monde de l’entreprise pour naviguer dans l’incertitude.

Une méthode simple et applicable tout de suite « la méthode ET » permet « d’utiliser la pensée systémique pour augmenter les avantages des efforts d’innovation » et « s’assurer de ne pas être compromis par le manque de compréhension d’ensemble ».

Intervenir dans un système, de manière systémique implique d’avoir des lignes directrices, bonnes pratiques. Un processus en quatre étapes pour utiliser la réflexion sur les systèmes afin de concevoir des interventions organisationnelles efficaces est mis à votre disposition pour outrepasser la perspicacité.

Entre une version statique et dynamique, c’est le temps qui fait son oeuvre. Il est un élément clé de la stratégie, de sa réussite. En fonction de notre appréhension du temps il peut être un allié précieux pour la réalisation de nos objectifs.

Ystem vous propose de partager un auto-apprentissage de la dynamique des systèmes. Pour cela, nous nous appuyons sur « Road Maps », un guide organisé en une série de chapitres. Il a été développé par le System Dynamics in Education Project (SDEP) au MIT

La dynamique des systèmes, alliée stratégique, pour apprendre et diriger l’évolution. Elle permet, d’approcher un gain double immense : une intervention sur le processus et une obtention de résultats. 5 étapes pour y arriver sont importantes.

La résolution de problèmes s’inscrit dans la majorité des cas, complexes, dans un système. Pour la rendre efficace passer par des étapes successives est nécessaire. L’itération en 6 temps est efficace, par exemple, c’est ce que nous vous partageons.

Penser système, fait appel à une faculté mentale caractérisée par sa capacité à relier, à conjoindre, à associer des choses séparées : l’ingénium. Penser système permet de résoudre (les problèmes) du système.

Aiguiser ses capacités à « penser systémique » permet de poser de nouveaux types de questions, avoir un rapport au temps des systèmes plus complet, prêter attention à la structure.

Stock, flux. Voilà les mots à l’origine de l’accumulation. Une stratégie pour se développer, perdurer !

« L’absence de spécialistes compétents n’amène pas la disparition de la dynamique des systèmes, car les problèmes subsistent. La complexité est toujours aussi difficile à appréhender, et les outils méthodologiques font toujours défaut. » « Le besoin d’une approche Dynamique des systèmes renaît, on cherche à nouveau des dynamiciens des systèmes ». C’est face à ce constat, partagé, qu’Ystem souhaite avec vous appréhender vos problématiques complexes. Quelles soient RH, économiques, marketing, supply chain … la méthode, tout à la fois prouvée, éprouvée, mais très peu exploitée en France, vous permettra d’avancer vers vos objectifs et un avantage comparatif.

Le monde est trop riche pour pouvoir se décrire en un seul langage, et un seul cerveau ne peut atteindre qu’une connaissance locale, c’est pourquoi il faut « penser en stratège ». Comprendre la complexité de départ c’est pouvoir s’offrir l’opportunité de la systémique.

L’action, souvent exclusive, invisibilise ce que nous ne faisons pas. C’est pourquoi, même un calcul qui se veut sommaire et parcellaire nous permet de prendre conscience de l’importance stratégique de l’action. Hiérarchiser l’action est primordial, pour permettre de limiter l’inaction potentielle à d’autres niveaux hiérarchiques et augmenter l’efficience de l’exercice de sa faculté d’agir.

Au-delà des risques, il y a leurs connexions, leurs interactions, leur dynamique commune. Aller vers une culture du risque qui soit véritablement stratégique nous contraint à appréhender de manière systémique les risques et compléter l’analyse par champ d’action.

Les risques climatiques et leur dynamique nécessite une plasticité cérébrale comprenant les phénomènes de cascades et les exponentielles. Leurs effets, déjà très lourds économiquement et au delà nous éloignent d’une entrée en stratégie. Modéliser, étudier et illustrer les implications pour votre système est essentiel.

« Il faut qu’il y ait une structure avant qu’il y ait un système qui puisse avoir un comportement ». 
Cette phrase de Jay Forrester, l’un, voir celui qui est considéré comme le père fondateur de la dynamique des systèmes, nous fait nous focaliser sur la structure. Au delà, elle ramène à la notion d’environnement et d’approche innovante, pour être stratégiquement efficient.

Selon la co-autrice du rapport Meadows, il y a des règles pour comprendre et danser avec les systèmes. 14 d’entre elles sont explicitées par l’autrice, et nous faisons le choix de faire un éclairage particulier sur certaines. Rythme, essentiel, complexité … voilà les présupposés de la stratégie par la systémique.

Traiter de l’approche systémique pour lui rendre son éminente utilité n’est pas simple. Elle qui a pour essence même de nous permettre de traduire la complexité pour piloter opportunément l’action est protéiforme, multiple, paradoxale à l’image d’un « système ». Elle reste pourtant essentielle.

La prise de décision est un terrain évident de matérialisation de la complexité. Prendre le contre-pied de ce qui nous paraît intuitivement logique, par le biais d’un cadre que constitue l’approche systémique et dynamique, c’est alors entrer en stratégie. Celle de faire coïncider réel complexe et cadre de réflexion opérant pour la complexité.

En mars 2023 sonne l’heure de la fin du 6ème cycle du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). L’occasion de mieux comprendre, conscientiser l’état du changement climatique et de faire un parallèle avec les risques existentiels adjacents.

D’une crise à l’eau-tre, il est bon de comprendre comment le caractère systémique de la situation oblige à ouvrir nos réflexions. L’eau cette ressource essentielle n’y échappe pas. Notre dépendance à son égard est sous estimée et les solutions pour conserver son potentiel d’utilisation inneficientes car sectorielles.

Entrer en stratégie c’est faire face à la complexité, à l’enjeu primaire de la contrainte. Aller vers la méta-stratégie c’est appréhender ces enjeux, les travailler, les dépasser par une approche qui le permet. C’est ce qu’il vous est proposé chez Ystem.

Mais qu’est ce que l’on entend par méta-stratégie, et dès lors stratégie ? C’est par cette question simple que cette prémisse d’article cherche à introduire un au delà complexe qui semble essentiel pour toute entreprise, collectivité, décideurs car adéquate à notre réalité … trop peu appréhendée.

L’innovation est empruntée du latin innovatio, qui signifie « renouvellement » (Dictionnaire Académie Française, 9e). Le renouvellement provient du changement de tout ou partie des éléments composant un ensemble (idem). Alors, par delà ordre/désordre, il faut comprendre que pour faire place au processus d’innovation il ne faut pas entraver le mouvement. Ne pas vouloir le libérer nous fait passer à côté de l’essentiel en la matière : la dynamique.

En ce mois de janvier 2023, le regard d’Ystem se pose sur le controversé World Economic Forum de Davos et le rapport concomitamment rendu public sur les risques globaux. L’occasion de prendre une fois de plus la pleine mesure de ce qui se passe : des processus graduels amoindrissant nos capacités d’analyses, d’actions et de résilience.

Comprendre que certaines situations ne répondent pas à la logique mécaniste classique, ou à la pensée analytique issue de Descartes permet d’appréhender avec lucidité la réalité complexe. Cela ne veut pas dire mettre au banc ces approches mais bien constituer un au delà où l’organique, ne peut être coupé, siloté sans perdre son essence même.